Passés
25/03/2021 – Table Ronde
Santé humaine et alimentation végétale
19h, visioconférence
Avec :
- Nathanaël Lapidus, médecin épidémiologiste à l’Hôpital Saint-Antoine,
- Christophe Lavelle, chercheur au Muséum national d’Histoire naturelle, formateur à l’INSPE – Hôtellerie-Restauration,
- Paco Maginot, médecin, co-fondateur du site Végéclic (vegeclic.com), un outil d’aide à la prise en charge des patient.e.s suivant des régimes végétariens ou végétaliens par les médecins généralistes et autres professionnel.le.s de santé, et
- Loïc Prud’homme, député à l’Assemblée nationale, président en 2018 d’une commission d’enquête parlementaire sur l’alimentation industrielle.
La table ronde durera entre 1h15 et 1h30. L’inscription permettant d’obtenir le lien de connexion s’effectue sur simple demande à l’adresse : marie-claude.kergoat@mnhn.fr.
Avec Marielle Macé (EHESS) et réponse de Hervé Joubert-Laurencin (HAR, Université Paris 10) dans le cadre de la deuxième séance du cycle de Rencontres de l’EDESTA consacré cette année au thème RESPIRER.
Dans la lignée de Nos Cabanes, qui interroge nos façons de vivre dans un monde abîmé, elle parlera des oiseaux, des pratiques et des poèmes qui nous attachent à eux, du souffle qui nous vient avec et par eux (et de quelques poèmes adressés, via ces oiseaux, aux petits asthmatiques et à tous ceux qui espèrent respirer mieux).
Marielle Macé est directrice de recherche au CNRS, directrice d’études à l’EHESS, et écrivain. Ses travaux prennent la littérature pour alliée dans une compréhension critique des formes de la vie commune. Elle a notamment publié Styles. Critique de nos formes de vie (Gallimard, 2016), Sidérer, considérer. Migrants en France (Verdier, 2017), et Nos Cabanes (Verdier, 2019).
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Avec Thierry Boutonnier, dans le cadre du cycle de conférences “Ecologie des arts et des médias” et en collaboration avec Les Jardins de Paris 8
Depuis plus de 10 ans, Thierry Boutonnier expérimente des pépinières urbaines avec des habitants (humains et non-humains). À travers ces sculptures sociales (J. Beuys), des collectifs se complexifient et s’étendent dans une pratique branchante (B. Latour, E. Khon, T. Morton).
“Avec les Œuvres participatives, vivantes et pérennes comme « Prenez racines ! » , Eau de rose, Appel d’air ou Recherche forêt, nous tentons d’expérimenter la puissance du monde végétal qui structure des dynamiques collectives pour renégocier un usage du foncier plus ou moins urbain dans la Terre. La co-construction ne se planifie pas sur la base d’un dessin rigide, elle involue dans les creux de la recherche et la rugosité des terrains grâce à l’agilité d’un dessein commun. Co-évoluer avec « la pépinière » induit de faire l’ouvrage avec des présences et dans des durées mêlées. Durant un exposé à la faculté de ce copain chevelu, à travers des traces, nous essaierons de sentir les mycorhizes avec la langue dans nos palais. Avec les jeunes arbres, fleurs, leurs itérations et agents multiscalaires, embrassons nos habitats et peut-être, deviendrons-nous urbain avec les non-humains. “
Plus d’informations ici.
Le site de la Radio “P-Node” ici et le lien de la visioconférence ici.
Avec Raphaël Nieuwjaer, rédacteur en chef et Gabriel Bortzmeyer, enseignant et critique.
Créée en 2012 à l’instigation de quelques étudiants en master, la revue Débordements n’a longtemps existé qu’en ligne avant de dédoubler son format en 2019, à l’occasion de son premier numéro papier. Celui-ci était consacré à David Simon, dans l’espoir de faire place à une “politique du showrunner” remodelant les cadres de la traditionnelle politique des auteurs. Sorti en octobre 2020, le second numéro s’attache à un autre déplacement, adossant le cinéma aux problématiques écologiques : son dossier “Terrestres, après tout” propose quelques réflexions dans les traces de ce champ encore embryonnaire, l’écocritique, qui articulent à chaque fois les enjeux figuratifs et narratifs du cinéma à ceux de la visibilité et de la lisibilité des phénomènes climatiques extrêmes ou des évolutions plus discrètes des paysages. Entre des monographies (sur James Cameron, Kelly Reichardt, parmi d’autres) et des essais plus cursifs, l’ensemble interroge les fables écologiques de notre temps.
Informations, calendrier, détails des séances ici.
Dans le cadre de sa 3e édition de la Journée d’étude “Ergonomie et développement durable” , le Master Ergonomie de Paris vous invite à échanger sur des leurs genèses , la transformations des activités humaines qu’ils induisent et de discuter sur les implications pour la pratique des ergonomes engagés engagés dans des projets de développement durables.
L’appel est ouvert à tous : étudiants, enseignants, personnels administratifs ainsi qu’aux acteurs extérieurs à l’université qui s’intéressent au thème, ainsi qu’aux approches alternatives et expérimentales de l’enseignement supérieur.
Quatre formats sont proposés, une communication, un panel thématique, un atelier, une production ou une expression artistique.